*Pertinence de l’improvisation collective*
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Les années 60 et 70, le Québec, la question nationale, la musique, le free jazz, « Le free jazz duquel s’inspire le Jazz libre émane en grande partie du nord-est des États-Unis : Chicago et New York. Ses ambassadeurs (Albert Ayler, Ornette Coleman, Cecil Taylor, Sunny Murray et Archie Shepp, pour ne nommer que ceux-là) adoptent, tout au long des années 1960, une posture combative en rejetant toute convention stylistique afin d’expérimenter avec la forme, l’instrumentation et les sons. Ayant éliminé la dictature du tempo et celle de la progression harmonique, ils déploient un langage musical novateur basé sur des improvisations collectives à l’intérieur desquelles tous, y compris les membres de la section rythmique, parviennent à s’affranchir », une forme de résistance à la domination culturelle, le « symbole sonore de la révolte noire », les capacités d’agir et de se libérer, la musique-action, « Le récit qui suit dirige par conséquent une lumière insistante sur le volet culturel du militantisme déployé au Québec pour « contester l’Empire ». »
Note sur : Eric Fillon : *JAZZ Libre et la révolution québécoise
Musique-action, 1967-1975*
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