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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 16/05/2020

    Le spectacle d’une « civilisation »

     ![Entrer une description pour l’image ici]( https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2020/04/9782330065584.jpg "Entrer un intitulé d’image ici")

    L’exposition universelle de 1893, le cadavre séché d’un nouveau-né indien, la célébration de la révolution industrielle et le faux glorifié, « Mais le clou de l’Exposition universelle, son apothéose, ce qui devait attirer le plus de spectateurs, ce furent les représentations du Wild West Show », le mythe de la conquête (dans le déni encore aujourd’hui du génocide fondateur), le spectacle comme entreprise…

    Note sur : Eric Vuillard : Tristesse de la terre
    Une histoire de Buffalo Bill Cody

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/05/16/le-spectacle-dune-civilisation

    #littérature #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @7h37
    7h37 @7h37 23/04/2020
    1
    @thibnton
    1

    Il faudrait dire la vérité : une étudiante en médecine face au Covid – L’Avventura, le blog scientifique de Fiamma Luzzati
    ▻https://www.lemonde.fr/blog/lavventura/2020/04/23/il-faudrait-dire-la-verite-une-etudiante-en-medecine-face-au-covid
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/f164b225-coronavirus-etudiant-0.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/c2c0412b-coronavirus-etudiant-1.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/23d9e3f8-coronavirus-etudiant-2.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/409ab803-coronavirus-etudiant-3.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/21ac4c13-coronavirus-etudiant-4.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/9c192928-coronavirus-etudiant-5.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/74b7b4fa-coronavirus-etudiant-6.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/4cbf3abf-coronavirus-etudiant-7.jpg
    https://asset.lemde.fr/prd-blogs/2020/04/5265eba7-coronavirus-etudiant-8.jpg

    Maïa est en troisième année de médecine, quand la pandémie de Covid 19 explose, elle répond à l’appel du doyen de sa faculté et va prêter main-forte à l’hôpital. Elle se retrouve à faire les gardes de nuit en tant qu’aide-soignante, une expérience riche et difficile qui va changer sa vie. Je remercie Pablo, Adèle et Ymai, étudiants en médecine, qui m’ont inspiré ce récit.

    L’ AUTEUR DE L’ AVVENTURA
    Je suis un auteur de bandes dessinées indépendant et pas une journaliste du Monde, si ce blog vous plaît, partagez-le ! Vous pouvez me suivre sur Twitter, Facebook, Instagram, Linkedin . La femme qui prenait son mari pour un chapeau est mon dernier livre (disponible sur ▻https://www.lalibrairie.com qui paie ses impôts et livre à domicile même pendant le confinement parce que le livre est un bien de première nécessité !

    Enfermer 10h les 150 plus hauts dirigeants du pays en condition d’exam et sans accès à aucune source avec pour consigne de rédiger quelque chose sur « La #crise_sanitaire, le #soin et le #dire_vrai » ; jury populaire, les recalés sont envoyés en stage à la charge de leur famille à la désinfection des transports en commun 6h par jour (restons magnanimes) jusqu’à la fin de la pandémie.

    #BD #récit #hôpital #élève #aide_soignante #vérité

    ▻https://seenthis.net/messages/846851 via colporteur

    7h37 @7h37
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 7/04/2020

    Une visite imprévue

    Quand elle est remontée dans la chambre, Simone pleurait.

    Je reposais tranquille dans mon cadre, sur la table de chevet, les joues roses, le regard franc et rieur. A l’arrière-plan, on apercevait un bout de plage, puis l’infinité de la mer.

    Elle s’est littéralement jetée sur moi, m’a serrée contre elle et trempée de larmes. Heureusement, je suis protégée par un filtre plastifié – pas de verre, ont-ils dit à notre arrivée, risque de se blesser ! Ils avaient raison : à me serrer comme ça, elle aurait pu se couper et m’abîmer, aussi. Mon beau sourire fendu en deux.

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/04/07/une-visite-imprevue

    #littérature #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 28/03/2020

    Léopold Louis-Philippe Marie Victor de Saxe-Cobourg-Gotha, le criminel roi des Belges

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2020/03/005320460.jpg

    « on organisa, pour le divertissement de toute l’Europe la plus grande chasse au trésor de tous les temps ».

    Il y a pour moi dans l’écriture d’Eric Vuillard des complicités avec la peinture d’Otto Dix ou les dessins de George Grosz. Un mélange réussi de caricatures et de descriptions précises, de poésie et d’acerbe dénonciation. Une littérature contre la barbarie de ceux qui se disent grands…

    Note sur : Eric Vuillard : Congo

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/03/28/leopold-louis-philippe-marie-victor-de-saxe-cobourg-got

    #récit

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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 21/03/2020

    L’attente entre la fermeture d’une porte / et l’ouverture de la suivante

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2020/03/unnamed-cc3b2pia.jpg

    C’est toujours un peu compliqué de rendre compte d’un ouvrage poétique, des sensations personnelles et de leur résonance…
    Je souligne néanmoins ces agencements particuliers de mots qui dessinent des fragments de l’univers carcéral et de celleux qui les visitent.

    Note sur : Lucienne Deschamps : Fleury l’été

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2020/03/21/lattente-entre-la-fermeture-dune-porte-et-louverture-de

    #récit #prison

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 24/12/2019

    Je me nomme. Je ne me tais pas

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/11/fem-mal-prc3a9sentation.jpg

    Dans sa préface, Anne-Laure Buffet parle de rencontre, de découverte, d’histoire, « mais la vie se nourrit souvent d’autres débuts ». Et le « il était une fois » se révèle être un piège. La préfacière aborde le tour dramatique d’histoires commencées en amour, le bleu, le jaune teinté de noir, « l’arc-en-ciel foncé et douloureux », le silence et la négation, la violence masculine déployée, les jugements sur l’acceptable voire l’excuse, « L’agresseur conserve sa belle image et la victime préfère le silence à la parole qui met en danger, qui alimente la honte et la culpabilité d’être une femme battue », la dissimulation des marques, la violence psychologique et la terreur, « Tu es folle tu perds la tête. Il faut consulter ma pauvre fille », la négation de la victime, l’autre face de l’existence, la négation de soi…

    Note sur : Carole Carcillo Mesrobian, Wanda Mihuleac : FEM MAL

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/12/24/je-me-nomme-je-ne-me-tais-pas

    #récit #photo #féminisme

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 1/11/2019

    Histoire de Fille, d’Annie Ernaux, Gallimard, 2016

    Une enfance protégée, un appétit vorace de lecture, une scolarité brillante, la reconnaissance. Un sentiment d’orgueil. Et puis, à dix-sept ans, la fille quitte pour la première fois, piaffant d’impatience, le cocon familial. Elle sera monitrice dans une colonie de vacances. Là, elle subira de violentes humiliations et des viols. L’ancestrale « lapidation » des femmes par les hommes, commente Annie Ernaux.

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/11/01/histoire-de-fille-dannie-ernaux-gallimard-2016

    #récit

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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 25/10/2019

    *Certaines phrases de Rimbaud m’avaient torché le coeur*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/10/couv_demorgny.jpg

    « Des voix urgentes montent des marges de l’oubli, de mon enfance, du silence, se lèvent et enflent, me hèlent, m’élisent si continûment qu’aucun exil n’est possible »

    Note sur : *Françoise Louise Demorgny : Pointillés*

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/10/25/certaines-phrases-de-rimbaud-mavaient-torche-le-coeur

    #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 19/10/2019

    *J’ai toujours eu peur de l’oubli, cette grande nuit aveugle*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/10/41dz4ypajil._sl160_.jpg

    Michèle Lesbre rend compte avec pudeur et colère de la vie de Victor Dojlida.

    Note sur : *Michèle Lesbre : Victor Dojlida, une vie dans l’ombre*

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/10/19/jai-toujours-eu-peur-de-loubli-cette-grande-nuit-aveugl

    #récit

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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 5/07/2019

    *Le temps de vingt quatre heures*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/07/ed_couv_lugrin_19.jpg

    6h30, un appel téléphonique, le frère, un infarctus.

    « Le mot « infractus », ce mot des pauvres, des illettrés, des apeurés, je veux qu’il soit un mot puissant et vigoureux comme un chevalier, désignant le sentiment d’être brisé du dedans, d’être vaporeux et en lambeaux, sans base distincte. » Ce mot qui surgit à l’annonce de l’infarctus de son frère, Angela Lugrin s’en empare comme d’un « lieu‐caverne » sur les parois duquel se profile l’ombre de leur lien de frère et sœur. »

    Note sur : *Angela Lugrin : In / Fractus*

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/07/05/le-temps-de-vingt-quatre-heures

    #récit

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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 8/06/2019

    *Vive éclosion des langues de révolte*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/05/claeys_couv-arabat_19.jpg

    Arabat réunit un ensemble de textes, photographies et dessins et un film en deux parties sur DVD, le tout né de la résidence, en 2018, d’Élodie Claeys et de Caroline Cranskens à Plounéour‐Ménez, en plein cœur des monts d’Arrée.

    Note sur : *Caroline Cransken / Elodie Claeys : Arabat*

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/06/08/vive-eclosion-des-langues-de-revolte

    #photo #dvd #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 18/05/2019

    *Elle refusait d’être une femelle, elle voulait être une femme – un être humain*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/05/31axag6citl._sl160_.jpg

    Une grand-mère, Djedda, pendant la colonisation et au lendemain de l’indépendance, « Tu es morte au moment où je revenais d’une promenade à Blida, de rose parfumée ».

    Note sur : Fadéla M’Rabet : Une enfance singulière

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/05/18/elle-refusait-detre-une-femelle-elle-voulait-etre-une-f

    #algérie #récit

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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 20/04/2019

    *L’immuable brisé*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/01/la-guerre-des-pauvres.jpg

    Les exaspéré·es, les insurgé·es contre l’état de servitude. D’autres avant elles et eux, d’autres plus tard, contre l’esclavage et la colonisation. Espérance d’hier comme du présent pour un monde plus juste, pour l’égalité et la liberté.

    Note sur : *Eric Vuillard : La guerre des pauvres*
    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/04/20/limmuable-brise

    #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 30/03/2019

    *Vingt-quatre machines à calculer aux portes de l’Enfer*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/03/cvt_lordre-du-jour_8835.jpg

    « En février, les arbres sont morts, la rivière pétrifiée, comme si la source ne vomissait plus d’eau et la mer ne pouvait en avaler davantage. Le temps se fige ».

    Aborder l’histoire avec les mots et les inventions de la littérature, « La littérature permet tout ». Faire récit en agençant les petits éléments et les lignes de force.

    Note sur : *Eric Vuillard : L’ordre du jour*
    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/03/30/vingt-quatre-machines-a-calculer-aux-portes-de-lenfer

    #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 28/01/2019

    *Les mots qui brûlent*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2019/01/la-guerre-des-pauvres.jpg

    Les mots d’Eric Vuillard brûlent. De colère, de révolte, de douleur, et d’espoir malgré tout. « Les mots qui sont une autre convulsion des choses » écrit-il dans « La guerre des pauvres », sont dernier bref récit – 68 pages – d’une densité exceptionnelle. Vuillard raconte les révoltes populaires du XVIe siècle en Occident et, en particulier, dans le Saint Empire Germanique. Il est aux côtés des combattants, des paysans et des tisserands pauvres, de leur dirigeant charismatique, Thomas Müntzer, prédicateur dans la lignée de la Réforme qui en 1524 prend la tête de la révolte en Thuringe, à Allstedt. Là nous dit Vuillard, « Müntzer se détacha des autres prédicateurs. Le fond devint social, enragé ». Müntzer fut, d’ailleurs, considéré comme un des premiers chrétiens révolutionnaires et même comme le précurseur d’une forme de communisme.

    Note sur : *Eric Vuillard, La guerre des pauvres, récit*

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2019/01/28/les-mots-qui-brulent

    #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @7h37
    7h37 @7h37 19/01/2019
    1
    @rezo
    1

    Comment changer le cours de l’#histoire | Eurozine
    ▻https://www.eurozine.com/comment-changer-le-cours-de-lhistoire
    https://www.eurozine.com/wp-content/uploads/2018/02/Eurozine-Graeber-Banksy.jpg

    Depuis des siècles, le récit expliquant les origines de l’#inégalité sociale est simple. Pendant la plus grande partie de leur histoire, les hommes vécurent dans des petits groupes égalitaires de #chasseurs-cueilleurs. Puis vint l’#agriculture, accompagnée de la #propriété privée, puis la naissance des #villes signifiant l’émergence de la #civilisation à proprement parler. Si la civilisation eut bien des aspects déplorables (les guerres, les impôts, la bureaucratie, la patriarchie, l’esclavage, etc.), elle rendit également possibles la littérature écrite, la science, la philosophie et la plupart des autres grands accomplissements humains.

    Tout le monde, ou presque, connaît les grandes lignes de cette histoire. Depuis l’époque de Jean-Jacques #Rousseau, au moins, elle a informé notre conception de la forme générale et de la direction de l’histoire humaine. Cela est d’autant plus important que ce #récit définit dans le même temps ce que nous percevons comme nos possibilités #politiques. La plupart d’entre nous considère la civilisation, et donc l’inégalité, comme une triste nécessité. Certains rêvent du retour à un #passé #utopique, de la découverte d’un équivalent industriel au “#communisme primitif” ou même, dans les cas les plus extrêmes, de la destruction complète de la civilisation et du retour à une vie de cueillette. Personne, cependant, ne remet en cause la structure élémentaire de cette histoire.

    Et pourtant, ce récit est fondamentalement problématique.

    Car il n’est pas vrai.

    ▻https://seenthis.net/messages/753202 via Kassem

    7h37 @7h37
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  • @valk
    ¿’ ValK. [seenthis] @valk CC BY-NC-SA 21/10/2018

    “Tout le monde déteste la start-up nation”
    ▻http://www.zite.fr/tout-le-monde-deteste-la-start-up-nation

    Revenir sur les mobilisations du printemps 2018 pour penser celles à venir : tel est l’objectif des rencontres de collectifs en lutte organisées le 20 octobre prochain à Montreuil. Malgré la longue grève des cheminots, l’émergence de nombreux conflits dans plusieurs secteurs du monde du travail et la présence continue et diffuse du mouvement étudiant, les attaques néolibérales du gouvernement n’ont pas été repoussées : après la Loi Travail et les ordonnances, le pacte ferroviaire a été approuvé et la réforme scolaire est toujours à l’œuvre. Mais des alliances renouvelées ont aussi montré la capacité à se soutenir les uns les autres ainsi qu’à imaginer des actions symboliques puissantes : en juin dernier, une bande d’empêcheur.ses de « startupper » en rond issue de toutes sortes de secteurs en lutte faisait une (...)

    #Article_à_la_Une #récit #Z12

    ▻https://seenthis.net/messages/730197 via Revue Z

    ¿’ ValK. [seenthis] @valk CC BY-NC-SA
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 28/06/2018

    *Off the map – tribulations de deux vagabondes anarchistes*

    https://entreleslignesentrelesmots.files.wordpress.com/2018/06/arton18598.jpg

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.blog/2018/06/28/off-the-map-tribulations-de-deux-vagabondes-anarchistes

    #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @7_lames_la
    7 Lames la Mer @7_lames_la 10/04/2018

    1919 : à cause créole l’arrête mange cochon ? - 7 Lames la Mer
    ▻http://7lameslamer.net/Quand-te-charroye-le-mort.html
    http://7lameslamer.net/IMG/arton203.png

    Le 31 mars 1919, le navire « #Madonna » l’arrive #LaRéunion... Li té apporte la #mort ! Sa in zistoire terribe, sa. In zistoire vrai. En 1988, #JeanValentinPayet la écrit in live té i appelle « #Récits et #traditions de La Réunion ». Dann live-là même, li raconte kosa l’arrivé La Réunion l’année 1919.

    #grippeespagnole #epidemie #creole #premiereguerremondiale

    7 Lames la Mer @7_lames_la
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  • @jefklak
    Jef Klak [seenthis] @jefklak 21/10/2017

    La Horde d’or (Italie 1968-1977), une note de lecture littéraire et « existentielle », Stéphanie Eligert
    ▻http://laviemanifeste.com/archives/11593

    La parution en février 2017 de la première traduction française de la Horde d’or – livre en constante réimpression depuis sa première édition en Italie, en 1988 – est un événement considérable, et cela à tout point de vue : politique, existentiel, théorique, textuel, narratif, documentaire, stratégique, etc.

    Pourquoi ? On a l’habitude d’entendre les 70’s italiennes qualifiées d’« années de plomb », ledit plomb étant supposé évoquer ce mélange à vocation terrifiante d’attentats et de lutte armée que n’aurait porté qu’une petite marge déviante, voire manipulée, d’« individus » issus des mouvements contestataires de 1968. Or dès les premières pages du livre – constituées des différentes préfaces et notes aux éditions de La Horde d’or en Italie, en 1988 et 1997 -, l’on comprend tout de suite que l’expression « les années de plomb », en réalité, a exactement la même fonction dans l’ordre du langage que les grenades lacrymogènes dans l’ordre policier : on les lance sur n’importe quel mouvement animé par un désir révolutionnaire afin d’enfumer, faire écran et produire de l’irrespirable là où justement, de l’espace était en train d’être rendu à l’air libre.
    Ainsi de ce bref et percutant extrait de l’avant-propos à l’édition de 1988 : Années de plomb, services secrets, massacres d’état, complot, répression, terrorisme, état d’urgence …. Ou bien, au contraire : les plus belles années de notre vie, transformation radicale de la vie quotidienne, utopie, besoin de communisme, révolution sexuelle, lutte armée, etc .
    (...)

    Tout est donc parti « des besoins concrets et matériels », les pratiques théoriques comme les pratiques ouvrières – l’inventivité de l’une s’est nourrie de l’autre, sans domination ou vision douteuse d’une avant-garde de « cadres » venus éclairer une masse de salariés supposée inapte à se libérer seule. C’est donc cette influence mutuelle, source de construction d’un « savoir sans intermédiaire », « immédiat » édifié « contre le pouvoir du capital » et sur la base de situations précises, ici et maintenant, qui a permis de libérer une inventivité demeurant aujourd’hui encore proprement magnifique. Ainsi, par exemple de la grève appelée du beau nom d’« à la chat sauvage », mise en pratique dans les milieu des années 60, dans les usines automobiles du Nord :

    La grève à « la chat sauvage » procède par arrêts imprévisibles aux points nodaux du cycle de production. Ces interruptions sont « spontanément » décrétées par les ouvriers, c’est à dire minutieusement préparées par une intelligence ouvrière qui sait utiliser à ses propres fins l’articulation productive de la coopération capitaliste. La grève « à la chat sauvage » est tout le contraire d’une simple lutte protestataire, éventuellement puissante, mais désorganisée. Elle requiert un très haut degré de cohésion et des formes actives d’organisation autonome. Celle du 15 octobre 1963 est historique parce qu’elle montre l’émergence à la FIAT d’une organisation ouvrière capable de mener une grève complètement en dehors du cadre des organisations officielles du mouvement ouvrier. Elle dément la vieille idée selon laquelle seul un petit groupe déterminé, détenteur de la conscience antagoniste ouvrière, serait en mesure d’organiser la lutte dans l’usine.
    (...)

    Livre-foule

    Le camarade du mouvement cité a également souligné autre chose d’essentiel : « Il est compliqué de parler de 77 » – je dirais : comme d’écrire à son sujet et sur tout le livre de la Horde d’or. Ainsi, depuis le début de ce texte, j’ai beau estimé nécessaire d’avoir fait des zooms précis, successifs sur les Quaderni rossi, le CUB Pirelli, les Circoli, etc. -, je ne me départis pas de l’impression, du coup, d’avoir forcé au silence tous les autres mouvements, groupes, tendances, etc., en ne les nommant pas … C’est que pour bien faire et rendre exactement compte de ce qui se passe, en termes d’impressions brutes de lecture, il faudrait sans cesse ajouter à un article sur ce livre des incises qui insufflent partout de la profondeur de champ, une multiplicité d’actions et d’acteurs (« tandis que », « en parallèle », etc.), des grondements d’usines avec 25 000 ouvriers en grève, les climats de Milan, Turin, une vaste atmosphère bienveillante, de la foule, etc.

    Et cette impression n’est pas un hasard. C’est en plus d’être un chef d’œuvre documentaire et historique, la Horde d’or est aussi une merveille formelle. Cet effet-foule, il ne me semble pas que la littérature et la poésie (expérimentale ou non) l’aient une seule fois produit – jamais, en tout cas, avec un dispositif d’une telle intensité. Ainsi, chaque zoom sur un aspect du mouvement ne semble jamais isolé des autres et de ce point de vue, la Horde d’or fonctionne comme l’anti-catalogue par excellence ; elle ne présente pas des « produits », des groupes successifs ayant pour seul étant leur fiche d’identité, mais elle tresse leurs influences dans une sorte de grande ondulation croissante. Et comme chaque composante du mouvement est toujours décrite alors qu’elle est prise dans une situation concrète, avec toutes les analyses et perceptions plurielles qui en découlent, etc., le tout, au fil de la lecture, accumule son foisonnement de détails et crée une sensation de rumeurs illimitées, d’horizons toujours plus vastes peuplant le hors cadre de la page. Comment ce livre réussit-il cela ? Tout s’est joué, semble-t-il, dans le processus d’écriture, que Nanni Balestrini (également romancier et poète – détail d’importance) décrit ainsi :
    Au fur et à mesure que nous avancions, une méthode a commencé à se dégager et tous les éléments ont trouvé leur place, petit à petit, chapitre après chapitre. Cela s’est fait de manière assez improvisée, dans un même élan, et c’est peut-être ce contexte d’écriture qui a permis que le livre soit vivant et donne cette impression d’exhaustivité. Nous avions bien sûr une idée générale, mais ce n’était pas un travail systématique, comme on l’aurait fait pour écrire un livre d’histoire. Nous avons plutôt choisi de donner une série de coups de projecteurs sur différentes situations, et c’est bizarrement cela qui donne l’impression d’un tout homogène.

    C’est le « contexte d’écriture » et donc une nouvelle fois, une situation précise, un certain agencement des subjectivités qui a précipité la mise en forme de la Horde d’or. Dans le même entretien, Balestrini explique d’ailleurs que les auteurs s’étaient retrouvés dans un appartement de Rome, travaillant au milieu d’une pièce où étaient progressivement ramenés, par grosses valises, tous les livres, tracts, documents imprimés durant les deux décennies révolutionnaires. En termes d’ambiance (et de la masse de souvenirs qui a dû « se lever » de ces textes, du grain du papier, des particularités d’impression, etc. – comme les fleurs de papier japonaises de la Recherche), il est évident que les auteurs ne pouvaient qu’opter pour un travail non systématique, qui se laisse absorber par l’acuité successive des « coups de projecteurs sur différentes situations ». C’est que le mouvement de la Horde d’or a été si fondamentalement existentiel (dans ses causes politiques, ses expressions, ses expérimentations théoriques, ses stratégies, etc.) qu’un livre en racontant l’histoire ne pouvait pas trouver d’autre matrice formelle que le récit. De fait, Bianchi, toujours dans le même entretien, précise que lors de la composition du livre, c’est Balestrini qui a « transposé son art du montage du roman à l’essai », et il ajoute que :

    La spécificité du livre tient au fait qu’il met en présence des matériaux très divers. Il y a bien sûr des textes théoriques, mais la structure de fond reste celle du récit. Les luttes avaient produit une telle richesse qu’il n’était pas nécessaire d’adopter un point de vue surplombant comme l’aurait fait une démarche universitaire. Le simple récit des faits était déjà porteur d’énormément de sens.

    La spécificité de la Horde d’or, c’est d’abord sa « structure de fond de récit », et non sa description théorique de l’autonomie ; « le simple récit des faits » a été suffisant – nul besoin de « surplomb », et donc de dénivelé hiérarchisant, dominant entre narration et faits narrés, et qui aurait eu, en plus, pour conséquence de séparer l’interprétation des expériences vécues. Or ces expériences ont été d’« une telle richesse » qu’elles ont formulé, à même leur réalisation concrète, « déjà énormément de sens ». La théorie était pratique – et en cela, il était inévitable que l’autonomie, dans son constant « processus de singularisation », trouve sa plus juste forme discursive dans le récit ou disons, pour faire large (et débarrasser tout de suite ce point de l’analyse de la question de la fiction) : la description subjective, la libre analyse à hauteur de « je » et de « nous ».

    Certes, tous les livres traitant un moment d’histoire révolutionnaire comportent des récits, mais la particularité radicale de la Horde d’or, c’est que les fragments subjectifs n’y sont pas utilisés comme des accessoires figuratifs, mis en position d’illustrer l’affirmation centrale des historiens, etc. Le schéma de la Horde d’or est totalement autre : les récits y forment le cœur même des chapitres ou de toute partie destinée à re-présenter une tension théorique et pratique ponctuelle dans l’histoire du mouvement. Précisons qu’il s’agit de récits de manifestation bien sûr, mais aussi de comptes-rendus d’actions dans les villes, d’exposés stratégiques ou de divergences, de tracts, de chansons, etc.

    En plus, même les passages théoriques sont des récits puisqu’à la lecture, ils n’apparaissent jamais sous l’allure de concepts en train de dérouler leur logique ; au contraire, dans presque tous les textes choisis, les auteurs / collectifs racontent comment des concepts se sont directement articulés à des configurations existentielles réelles (telle grève, telle réaction à telle occupation, etc.). Même, et surtout, les textes de Primo Moroni et Nanni Balestrini – introductifs ou conclusifs, montant les différents documents entre eux – se construisent comme des récits où l’essentiel d’une situation politique est planté « sous les yeux » avec une efficacité toujours admirable (en trois ou quatre paragraphes, tout est là : les grandes données socioéconomiques d’une ville à tel moment, son climat, les enjeux théoriques précis qui la traversent, etc.).

    En fait, il n’y a quasiment pas de théorie « pure » dans la Horde d’or, ou de théorie hors sol (si ce n’est le chapitre sur le marxisme-léninisme !). Il n’y a pas même, je crois, de pire contresens pour la Horde d’or que l’idée d’une « théorie hors sol ». C’est que l’émergence de la « vague révolutionnaire » italienne, comme sa durée, n’ont été possibles, on l’a dit, que parce que la théorie avait su, à un moment donné, devenir creativa, immanente, articulée à même l’existentiel, comme les grèves à la chat sauvage. Et là où cela intéresse pleinement la littérature et la théorie du texte, c’est qu’en procédant ainsi, par « coups de projecteurs » successifs, le montage de la Horde d’or invente une nouvelle forme de livre, elle aussi autonome. En effet, est-ce que ce « tout homogène » qui réussit à être créé alors qu’il n’y a « bizarrement » aucune unification des multiples matériaux cités, cela ne rappelle pas exactement l’atmosphère et le degré de maturité hallucinant auquel était parvenu le mouvement en 77, dans les couloirs de l’université de Bologne ? Que ce soit sur un plan structurel ou dans le détail des textes, l’homologie est complète entre la forme-foule de la Horde d’or et celles inventées pendant deux décennies par le mouvement.
    (...)

    La Horde d’or maintenant

    Quels sont-ils, ces raccords dans l’axe ? Il faudrait un long texte pour déployer dans le détail toutes les résonances (théoriques, affectives, stratégiques) qui se bousculent à la lecture de la Horde d’or. Mais pour le dire vite, disons que l’aire des autonomies, comme on l’a surnommée, vient nous montrer la manière dont combler les blancs, ou les fondus au noir, de la tradition insurrectionnaliste française, et cela donc grâce à :

    – Une proximité sensible fondamentale et incontournable avec les lieux d’exploitation (cf. les enquêtes ouvrières des Quaderni rossi et le désir de connaître précisément « la vie dans l’usine », « l’organisation du commandement » dans les ateliers ou dans les entreprises, les open space, etc. – en transformant les paroles recueillies en corecherche et « savoir immédiat, direct » d’une lutte) ;

    – Une attention maximale portée à la dimension existentielle et subtile de situations diffuses de révolte, où qu’elles surgissent (sur le marché du travail, dans les universités, les zones rurales, etc.) ;

    – Une mise en phrase simple et anti-idéologique de ces révoltes existentielles (cf. les passages cités d’Elvio Fachinelli, du CUB Pirelli et du Gruppo Gramci), propre à susciter chez n’importe quel lecteur une reconnaissance concrète de ses propres sensations, et donc une bascule possible dans la lutte ;

    – Le choix du récit ou de toutes formes textuelles susceptibles de mettre en forme l’autonomie in situ ou « dans le temps » comme disait Proust.

    Car c’est peut-être cela l’essentiel de la Horde d’or, cette richesse merveilleuse, ce contre-capital qu’elle donne en partage au fil de ses 660 pages et laisse en souvenir : l’autonomie en acte – c’est à dire l’autonomie en tant qu’elle réussit à être « l’immanence : une vie » ou « réappropriation de la vie » comme disaient les Circoli. Et avec cet héritage d’actions directes, situées, sensibles, immanentes, nous – aujourd’hui – savons aussi comment transformer « le plomb » en or.

    #luttes #autonomie #Italie #histoire #récit #toctoc ?

    ▻https://seenthis.net/messages/638810 via colporteur

    Jef Klak [seenthis] @jefklak
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  • @contretemps
    Contretemps @contretemps 18/10/2017

    À voir : « Bricks », de Quentin Ravelli
    ▻http://www.contretemps.eu/ravelli-bricks-briques-rouges

    Une petite année après l’entretien que nous avions mené avec Quentin Ravelli à l’occasion de...

    #Conjoncture #Culture #Récits #capitalisme #cinéma #crise_économique #crise_financière #dette #économie #espagne #logement #luttes

    Contretemps @contretemps
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  • @entre_les_lignes_ent
    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND 7/10/2017

    « Toute histoire est vraie »

    note sur : John Edgar Wideman, : Écrire pour sauver une vie. Le dossier Louis Till

    ▻https://entreleslignesentrelesmots.wordpress.com/2017/10/06/toute-histoire-est-vraie

    #récit

    entre les lignes entre les mots @entre_les_lignes_ent CC BY-NC-ND
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 3/07/2017
    1
    @bastaportail
    1

    Dire le travail, pour le faire changer
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/economie/030717/dire-le-travail-pour-le-faire-changer

    Des #récits bruts, à la première personne, qui racontent le quotidien d’un ascensoriste ou d’un médecin, d’une fonctionnaire ou d’un ramasseur de pommes. Deux #livres rassemblent les témoignages des travailleurs d’aujourd’hui et donnent des pistes pour transformer leur vie et la nôtre.

    #Economie #Espace_de_travail

    Mediapart @mediapart
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  • @nodal
    Nodal @nodal 13/03/2017

    #tragedia en #Argentina: mueren dos personas durante un #Recital
    ▻http://www.nodal.am/2017/03/tragedia-argentina-mueren-dos-personas-recital-rock

    The post Tragedia en Argentina: mueren dos personas durante un recital appeared first on NODAL.

    [Esto es un resumen. Visita la Web para la nota completa y más!]

    #Indio_Solari #Rock

    Nodal @nodal
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  • @mediapart
    Mediapart @mediapart 10/03/2017

    Dans son livre, Vallaud-Belkacem se raconte moins lisse qu’elle ne paraît
    ▻https://www.mediapart.fr/journal/france/100317/dans-son-livre-vallaud-belkacem-se-raconte-moins-lisse-quelle-ne-parait

    La ministre de l’éducation nationale #Najat_Vallaud-Belkacem publie, en pleine campagne présidentielle, un livre au ton très personnel, parfois pertinent, dans lequel elle tente de se défaire de son image lisse. Et défend le bilan du quinquennat en matière éducative.

    #France #éducation #politique #récit

    Mediapart @mediapart
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